Seth Armstrong
Publié le 12 Décembre 2013
Seth Armstrong connaît Edward Hopper. Il connaît aussi Hitchcock et Fenêtre sur cour, comme en témoigne le tableau ci-dessus. Il connaît aussi cette forme particulière de mélancolie qu'engendre la solitude au coeur des foules. Ces instants entre parenthèses où, livré à soi même on s'abandonne à la tristesse. A cela s'ajoute un petit côté indiscret qui lui fait se glisser dans les appartements qu'il observe depuis sa fenêtre. En pensée du moins.
Qu'il s'agisse d'immeubles, des personnages qui les habitent, d'objets, de voitures ou de super héros, tout cela nous parle de nous même. Et de lui, sans doute.